Propos glanés sur le blog… (IV)

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Propos glanés sur le blog… (IV)

L’édito du mois dernier a suscité bien des réactions (n’est-ce pas là le but, même si indirect, d’un édito ?). En voici deux, de plumes particulièrement expressives…

Bonjour,

Je suis une anti-cellulaire à 100 % (ou presque) et je n’en possède aucun. J’étais très contente de lire ce message. Je me suis dit: Enfin, quelqu’un qui a une opinion négative sur ces « bébelles » de la technologie. Lorsqu’on me répond: c’est vraiment nécessaire d’avoir un cellulaire au cas où je serais en panne, ou encore : je veux que mes enfants ou mon mari, chum ou ma belle-mère soient capables de me joindre peu importe où je suis, je me dis que tous ces gens ne sont pas débrouillards pour « cinq cennes ». Ceux-ci n’existaient pas avant et on se démerdait avec les moyens que l’on avait. Pour certaines personnes, le cellulaire est devenu une drogue au même titre que la cigarette, l’alcool ou encore le cola. Ils ne font pas un pas sans l’avoir avec eux. Sur dix personnes rencontrées à l’épicerie, au moins cinq à six parlent avec leur cellulaire pour dire quoi ???? Des niaiseries… Même sur les pentes de ski alpin, j’en ai vu qui arrêtaient de skier pour répondre au téléphone. Bon OK, j’arrête de « bitcher », mais ça m’a fait du bien.

Bonne journée.

Sylvie.

Tout le plaisir fût pour nous Sylvie, de vous laisser ainsi extérioriser cette accumulation de découragement social ! Merci pour le défoulement !

Doris quant à elle, y voit plutôt les côtés positifs, sans pour autant s’en rendre dépendante :

Pour avoir parcouru moi même le Népal, je reconnais que la photo plein de fils me dit quelque chose. Je ne crois pas que cette commodité soit pour que nous puissions, nous touristes, faire notre compte rendu quotidien. Mais pour les gens, comme ce jeune homme rencontré dans le bus qui se trainait, et qui avait du marcher trois jours pour avoir l’opinion du médecin, c’est une bonne affaire le cell. Surtout dans un pays où les gens sont si éloignés de tout. Je suis bien contente qu’ils aient accès à ce service. Tant qu’à nous, faisons-en un bon usage, et laissons-le à la maison si on ne peut s’empêcher de l’utiliser.

Et Matthieu de répondre :

Bien d’accord avec vous quant à l’accès à des commodités telles que celles-ci pour les communautés d’ailleurs, reculées ou pas. Vous pouvez consulter ce que nous disons des « réalités locales et du progrès global » dans notre charte éthique.

Pour le reste, nos commentaires concernaient surtout le voyage et les voyageurs.

Bien à vous!

Frédéric

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